Vu un préquel à Final Fantasy 15, c'est un film d'animation d'1h55 sublime, qui met en place l'histoire, peut être que ça donnera envie à certains de poursuivre dans l'univers en y jouant, en tout cas le film pose les bases de l'univers et claque bien ! Avec les voix notamment de Cersei Lannister et autres guest.

simbaud a écrit:

"on relativise sur notre paix relative" 

T'es chiant 

Deux films récemment vus au cinéma :
Star Trek Beyond, car j'avais bien aimé les 2 précédents.

Côté blockbusters hollywoodiens, les trilogies parviennent rarement à se conclure avec brio. Preuve en est avec, récemment, X-Men: Apocalypse, bien en deçà des espérances. Une malédiction que subissent de nombreuses sagas depuis plus d'une dizaine d'années, en cherchant sans cesse à rendre leur troisième épisode plus sombre, plus mature, et également plus épique, pour un résultat généralement brouillon et désabusé. Un écueil que ce Star Trek: Beyond, troisième film du reboot de la saga par Abrams, parvient plutôt bien à éviter. De prime abord, on ne peut réellement parler, ici, de fin de trilogie tant il n'y a pas eu de promotion soulignant la conclusion de la saga. Par ailleurs, ce long-métrage se pose davantage comme une étape supplémentaire ouvrant indéniablement la voie à une poursuite d'aventures dans des directions diverses. Ainsi, on a un troisième volet avec une saveur différente des deux précédents films, mais qui réussit à garder sa cohésion.

Justin Lin reprend le flambeau laissé par un Abrams désormais enchaîné à Star Wars et se contente de réaliser un space opera fun et léger, bourré de connotations oldschool. On a alors cette impression un peu kitschouille inhérente au visuel de la série TV de la fin des années 60. Cela n'empêche pas les paysages extraterrestres d'être subjuguants, les architectures spatiales comme la station Yorktown d'être époustouflante, d'avoir des races aliens aux maquillages très réussis ; de quoi créer un space opera moderne au design rétro-futuriste des plus plaisants. Qui plus est, le film comporte nombre de séquences vertigineuses, avec une profondeur de champ joliment travaillée, qui devraient être particulièrement spectaculaires lors d'un visionnage en 3D. Pour autant, s'il sait filmer des voitures lancées dans des courses débridées, Justin Lin a un peu plus de mal à rendre justice à l'action spatiale, et plus spécialement à celle qui a lieu au sein d'un vaisseau qui sombre en ruines. En effet, certaines scènes, en plus d'avoir lieu dans une obscurité péniblement discernable, sont ternies de caméras trop dynamiques et d'un montage qui rend la représentation géographique des différents acteurs extrêmement hasardeuse. La mise en scène de Lin manque quelque peu de la légèreté qu'avait Abrams dans ce genre de situations. Toutefois, l'ensemble garde un sens du spectacle suffisamment nourri pour être efficace, en plus d'être appuyé de superbes pièces musicales de la part de Michael Giacchino qui trouve un juste équilibre entre les chœurs sentencieux, les envolées percussives épiques, et la réinterprétation habituelle du thème moderne de Star Trek.

En ce qui concerne l'histoire de ce troisième film, on retrouve avec plaisir l'ensemble de l'équipage pour une mission en espace inconnu alors que chacun commence à être éprouvé par ces voyages stellaires quinquennaux confinés. Par contre, il faut un petit peu de temps pour se remettre dans le bain de leur complicité et relations. Disons aussi que certains personnages restent effleurés, avec la majeure partie de l'humour provenant du duo Spock/McCoy et une bonne partie de l'attention est consacrée à la nouvelle venue : Jaylah, une alien jouée par Sofia Boutella, rencontrée sur une planète hostile. Comme tout bon space opera qui se respecte, il y a de nouveau une force extraterrestre machiavélique venue des confins de l'univers, avec un leader bien travaillé, interprété par un Idris Elba méconnaissable, qui tire des similitudes de Sunshine ou Event Horizon. Cependant, à l'instar des deux précédents films, Star Trek: Beyond ne lésine pas sur les deus ex machina et les résolutions de conflits bien trop faciles et risibles par endroits. Ainsi, le scénario ne prend guère la peine de se poser pour mesurer l'intensité du moment, la menace que représentent les forces de Krall, ou les bribes d'émotion introduites par quelques personnages ; cela dans le seul but de conserver un rythme engageant et sans temps mort pendant deux heures.

Star Trek: Beyond ponctue donc la saga avec ferveur tout en lui rajoutant une certaine désinvolture contrastant avec le sérieux des deux films précédents. Justin Lin ne démérite aucunement à réaliser des prouesses spatiales éblouissantes, accompagnées d'un spectacle pyrotechnique efficace, même si l'écran est parfois un peu trop occupé. Malgré quelques défauts d'écriture, et un long-métrage qui ressemble finalement à un épisode de la série en format long, sans forcément apporter beaucoup de nouveautés au space opera Trekkien, l'équipage regagne vite la sympathie et donne assurément envie de l'accompagner dans la suite de ses aventures stellaires.



Et War Dogs pour un début de soirée entre potes :

À l'inverse de sa promotion qui laissait entrevoir une énième comédie américaine vulgaire, façon buddy-movie à la Rodgen/Franco (cf. The Interview) bourré de blagues graveleuses et gags idiots, War Dogs se révèle finalement être une agréable surprise. La marque du réalisateur des Very Bad Trip est pourtant bien là, notamment à travers des tics de réalisation et de montage dont des ralentis putassiers en grande partie inutiles et la volonté d'instaurer un esprit cool avec des morceaux de Hip Hop en fond sonore et du clinquant à l'écran.

Pour autant, il parvient à équilibrer cela en laissant entrer une part de dramaturgie plutôt bien écrite. C'est alors davantage la voie d'un No Pain No Gain qu'emprunte le film, la comédie perdant petit à petit le pas face à l'histoire dramatique. Et il n'en fallait pas moins. En effet, en se basant sur les faits réels de ces deux jeunes âgés d'une vingtaine d'années qui se sont lancés dans le trafic d'armes pour le compte de l'armée américaine, Phillips a tout intérêt à insuffler une part du sérieux, même si une bonne partie des péripéties ne sont que rajouts fictifs pour dynamiser le long-métrage.

La performance de Jonah Hill, sans être démentielle, est tout de même un des éléments forts du film, donnant à son personnage toute une aura de type prêt à tout pour obtenir ce qu'il veut. Seul bémol, le running gag avec son rire ridicule, en tout cas en VF. À ses côtés, Miles Teller est le protagoniste et, même s'il reste assez mono-expressif, il parvient à convaincre pendant près de deux heures, ce qui est déjà bien. L'apparition de Bradley Cooper est toute aussi sympathique, bien qu'elle appuie un peu plus le feeling Very Bad Trip.

Au final, on a avec War Dogs une comédie qui ne se repose pas simplement sur les gags de son marketing, mais construite en agrément d'une histoire prenante et en partie informative. On sent une volonté du réalisateur de donner un ton satirique à son film, tout en alimentant la réflexion sur le marché d'armes, sans être aussi vindicatif qu'un Lord Of War. Il est difficile de vraiment cerner le film et lui coller une étiquette (action, comédie, thriller, drame), puisqu'il touche à tout, parfois maladroitement, d'autres fois exagérément. Néanmoins, ce long-métrage parvient à garder une certaine cohésion, et c'est amplement suffisant.

Premières images de Ghost in the Shell version Scarlett Johansson. Esthétiquement ça à l'air pas mal du tout, j'espère que le reste suivra même si j'ai un peu peur du résultat

Esthétiquement, ça va parce qu'il y a Scarlett Johansson surtout

La puissance de cette bande-annonce ; des frissons !

Terrible.

Eh bien, bizarrement, ce trailer m'enchante beaucoup moins que les précédents. J'y vois un simple déluge CGI d'un bestiaire fantastique toujours plus spectaculaire pour impressionner le public. Ce côté-là était davantage mesuré sur les premières bandes-annonces.

Pareil, tout parait beaucoup plus banal et se fond dans le paysage des films fantastiques à gros budget actuel ... J'espère retrouver un peu de l'aura Harry Potter devant le film, mais je sais plus trop là ...

Ma foi peut-être meilleur que le 4 ! A voir !

Toti a écrit:

Ma foi peut-être meilleur que le 4 !

Pas vraiment dur d'être meilleur que le 4

On dirait une affiche pour Saw, mais c'est bien celle du prochain Wolverine, et si le film suit l'ambiance que semble donner cette image, ça peut-être une très belle fin de carrière pour la dernière apparition de High Jackman en Logan.

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ça donne envie !

Vu ROOM => Bluffant
Démolition : Très cool

J'ai ri du fail de Momoa à 1:07 et de la réaction de Gadot après :

Vu Miss Peregrine et les Enfants Particuliers: J'ai adoré! J'était comme un gamin tout le long, et ça fait du bien de retrouver un bon film de Burton après les merdes qu'étaient Dark Shadows et surtout Alice au Pays des Merveilles... Vraiment ce film est génial, foncez le voir

Moi j'ai bien aimé Dark Shadows et Alice ...

En même temps Gal Gadot elle peut être dans n'importe quelle situation, elle reste tellement canon. Ce film va être vraiment bon je pense, surtout depuis qu'Affleck s'en charge

Miss Peregrine ça a l'air chouette

simbaud a écrit:

Moi j'ai bien aimé Dark Shadows et Alice ...

Pareil 

Shin a écrit:

En même temps Gal Gadot elle peut être dans n'importe quelle situation, elle reste tellement canon. Ce film va être vraiment bon je pense, surtout depuis qu'Affleck s'en charge

Miss Peregrine ça a l'air chouette

Non c'est toujours Zack Snyder sur Justicle League.