Age : 29 Nesquik : 13 Nombre de messages : 1517 Date d'inscription : 23/06/2014
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 14.09.14 17:46
Non mais il va à la potence, mais il y a un truc inattendu qui se passe, donc tu verras que ce n'est pas un spoil du tout ^^
(surtout que c'est les premières minutes du film )
zinsky Pâtissière en chef
Age : 50 Nesquik : 107 Nombre de messages : 5738 Date d'inscription : 13/01/2011
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 15.09.14 9:09
le parfum est un film assez spécial dans son univers et son atmosphère, relevés par le fait que ça se passe dans une ville que je connais assez bien. Très bon film décoté, pour moi, par la fin qui m'a pas emballé.
vrai spoiler:
je parle bien sûr de ce qui se passe sur la place, hors le fait que je trouve ça ridicule, ça fait basculer le film, sur la fin, dans un autre registre. Alors qu'il était très bien dans son registre premier
simbaud Membre du groupe
Age : 29 Nesquik : 13 Nombre de messages : 1517 Date d'inscription : 23/06/2014
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 15.09.14 9:41
Oui, la fin est franchement bizarre ^^
CyberInflames Cybercritique
Age : 33 Nesquik : 122 Nombre de messages : 5104 Date d'inscription : 09/05/2011
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 15.09.14 12:55
Tant mieux alors, je vais le regarder cette semaine je pense. En attendant, l'habituel bilan visionnages de la semaine passée Livide : Le duo Alexandre Bustillo/Julien Maury est garant du bon goût en matière d'horreur depuis le très sanglant À L'Intérieur. Sur Livide, on retrouve leur professionnalisme dans la mise en scène efficace et carrée. L'ambiance visuelle est réussie, avec de très belles compositions dans les décors (la bâtisse, les landes, les falaises...), et de nombreuses scènes visant le malsain ou l'épouvante joliment travaillées. Malheureusement, on les croirait toutes empruntées à des genres de films d'horreur différents, comme si Livide en faisait une anthologie, reliant le tout par une narration de peu de sens. C'en est un écueil considérable, également miné par des acteurs franchement moyens et dont les personnages accumulent les clichés. À noter l'apparition totalement inutile de Béatrice Dalle. On peut relever la bande-son, bien pensée et atmosphérique, mais à force d'être omniprésente pour appuyer l'étrangeté, elle en finit par être agaçante de gimmicks, tout comme cette tentative constante de vouloir surpasser À L'Intérieur avec des scènes gores exagérées.
The Secret : Heureusement qu'il y a cette dernière demi-heure qui permet à The Secret de se faire un peu plus valoir car, pendant près d'une heure, le pauvre Pascal Laugier semble complètement perdu, en essayant d'appliquer sa vision de cinéaste sur une production américaine formatée. Par endroit, il parvient à rendre son long-métrage intéressant, notamment au gré de sursauts scénaristiques inattendus, et d'un point de vue vraiment évolutif qui fait soupeser la question du bien et du mal. Néanmoins, l'ensemble demeure souvent bancal, à l'instar de cette intrigue plutôt neutre, et pas toujours très sensée dans ses explications sur la disparition des enfants. Par ailleurs, Jessica Biel peine à retenir l'attention, tandis que le contexte narratif de la petite ville miséreuse et paumée du fin fond de l'Amérique est très caricatural. Il faut aussi souligner que The Secret n'a rien d'un film d'horreur et s'engage davantage sur la voie du thriller qui se suit tout de même sans trop de mal - au moins une fois, pour avoir les réponses.
L'Échelle De Jacob : L'Échelle De Jacob était certainement marquant à l'époque de sa sortie, en 1990, avant que nombre de longs-métrages aient eu tôt fait de reprendre ses mécanismes scénaristiques et son esthétique obscure. En se remettant dans le contexte, retraçant le traumatisme post-Viêt Nam de Jacob (Tim Robbins), l'intrigue devient rapidement ambiguë, entre hallucinations, amnésie et conspirations militaires, et brille alors de ses révélations accablantes, autant pour le protagoniste que pour le spectateur. La réalisation d'Adrian Lyne apparaît tout de même assez fade, mais tout est vu à travers les yeux de Jacob, si bien que sa descente dans la folie n'en est que plus frappante grâce l'imagerie de figures démentes et des quelques effets et ambiances horrifiques qui ont dû choquer les mœurs il y a treize ans de cela. Ainsi, errant entre concepts métaphysiques, religieux, et instabilité mentale, pour juger complètement de la signification de certaines scènes, L'Échelle De Jacob s'avère être une réelle torture de l'esprit.
Le Dernier Survivant : Inspiré par le roman The Quiet Earth, Le Dernier Survivant se déroule sur une Terre dépeuplée d'êtres vivants, suite à une expérience scientifique malencontreuse. Seul Zac a survécu, contraint à errer à jamais dans ce monde fantôme. On pense évidemment à Je Suis Une Légende, même si le film opte pour un ton parfois comique, avec des acteurs juste bons à faire progresser l'histoire. On peut aussi regretter que le long-métrage ne profite pas d'une approche artistique plus soignée, sous ses allures de téléfilm, car il propose un développement d'idées métaphysiques et un mystère constant qui forcent le spectateur à faire travailler son imagination, notamment à travers son finale. Comme toute œuvre de science-fiction bien construite, Le Dernier Survivant, en plus de matérialiser le fantasme de certaines personnes, lève également des questions sur la condition humaine. Un peu plus profond que la moyenne, le film garde toutefois une interprétation libre, et manque d'un peu de rythme et d'ambiance pour se faire totalement incontournable.
Cargo : Dans ce film de science-fiction suisse, la Terre est devenue insalubre, inhabitable, et la population vit dans des stations spatiales de misère. L'utopie, c'est une planète viable du nom de Rhea. Laura embarque donc à bord d'un vaisseau cargo dans l'espoir de se payer un aller simple vers une nouvelle vie. D'emblée, Cargo affiche des concepts et une ambiance empruntés aux œuvres majeures du genre - Alien, Matrix, 2001 - ainsi qu'à des longs-métrages plus récents tels que Sunshine, Moon, ou Pandorum. Du coup, hormis quelques surprises dans la façon de présenter les évènements, le film ne se montre guère original ; qui plus est, il est long. C'est surtout l'absence de musique intéressante qui souligne de gros problèmes de rythme, avec une lenteur de narration malvenue et des rebondissements éculés. Par ailleurs, Cargo souffre également d'un casting fade et médiocre, qui donne lieu à une histoire d'amour absolument navrante. Heureusement, malgré la petitesse de la production, les effets visuels sont convenables et l'envergure spatiale apparaît plutôt soignée.
Les Rencontres D'Après Minuit : Ils ne peuvent pas tous être talentueux dans la famille. Yann Gonzalez, frère d'Anthony Gonzalez (M83), nous propose ici son premier long-métrage. Il centre son intrigue sur une partouze de personnages bien variés, chacun avec leur propre histoire qu'ils racontent tour à tour pendant 1h30, pour tenter de se donner de la matière. Le réalisateur habille ainsi son film de dialogues crus, quelques plans de nu, et des scènes fortement suggestives qui donnent encore et toujours l'impression que le cinéma "d'auteur" français est incapable de se rendre intéressant sans faire dans le sexuel. Bien entendu, Gonzalez cherche à aller au-delà en développant le tout dans un univers par moment surréaliste et fort de quelques scènes fantasques. Par ailleurs, avec son frère à la composition, il tente de donner une tournure poétique, même si l'Electro/Shoegaze d'M83 ne colle pas forcément. Mais au vu du cœur de l'histoire, de son air faussement artistique, et des tronches que tirent les acteurs, c'en devient juste pompeux et ennuyeux.
Chasing Mavericks : C'est bien beau de s'inspirer de faits réels pour, en quelque sorte, réaliser un biopic sur le surfeur Jay Moriarity, mais si c'est pour en sortir une fiction aussi niaise, autant inventer une histoire et avoir des libertés narratives. Chasing Mavericks donne clairement l'impression de regarder un téléfilm Disney Channel sur le monde du surf, avec tous les bons sentiments du monde. Un jeune garçon sans père, une mère paumée, un amour d'enfance qui l'évite, des musiques Punk/Rock, et un héros taciturne qui va lui servir de mentor en la personne de Gerard Butler, transformé en Russel Crowe pour l'occasion. Beaucoup trop long pour ce qu'il cherche à raconter, le long-métrage a bien quelques moments de drama pour contrebalancer la mièvrerie ; ils restent toutefois très faciles. Pareillement, visuellement, le film n'a aucune allure cinématographie et, hormis une ou deux grosses vagues, il ne propose rien de bien sensationnel ou, en tout cas, qui donne envie d'attraper une planche et de se jeter à l'eau.
Merantau : Deuxième film de Gareth Evans - le virtuose qui a révolutionné le film d'arts martiaux avec The Raid - Merantau met déjà en exergue la dextérité du réalisateur à filmer les chorégraphies impressionnantes d'Iko Uwais en plein combat et maîtrise du silat. On ne vas pas le cacher, le film est tout de même très long à démarrer, rempli de facilités, de clichés, de personnages fades et dialogues affligeants, ainsi qu'une bande-son un peu trop folklorique qui ramollit l'ensemble, et un montage passable. Cependant, il parvient à vite remonter la pente avec des séquences de poursuite dans Jakarta qui ne manquent pas de rappeler Ong-Bak, des éclairages intérieurs de bon goût, et surtout des affrontements qui croissent en ampleur et inventivité tout au long du film. Avec des antagonistes charismatiques, Evans accouche même d'un climax digne de rivaliser avec certaines séquences de The Raid. Plus on progresse, moins il en épargne et, nous gratifiant de quelques plans séquence efficaces, c'en devient jouissif de voir ses prémisses et des coups qui font mal aux tripes.
Grave Encounters : Un hôpital psychiatrique désaffecté... le contexte suffit déjà à faire frissonner. Alors si on y ajoute de la vision nocturne, des couloirs labyrinthiques, et des bruits lugubres, l'atmosphère devient franchement oppressante. À l'image de Les Chroniques De Tchernobyl, ce Grave Encounters joue beaucoup sur le ressenti du spectateur dans cet environnement si spécial. Et le found footage est plutôt bien géré en partant du principe d'un show TV consacré au paranormal. Il y a donc du matériel, et aussi beaucoup de pipeau. Comme d'habitude, par contre, les fantômes qui jouent à cache-cache et se manifestent de plus en plus sont insensés, les sautes de bandes vidéo dès qu'il y a un peu d'agitation sont pénibles, les bruitages extradiégétiques pour intensifier les jumpscares nuisent au concept, et les nombreuses coupes de montage cassent l'immersion. Sans cela, le film, bien que classique à l'époque des Paranormal Activity et [REC], parvient à installer une ambiance angoissante, notamment au travers des séquences d'errance solitaire qui mettent vraiment mal à l'aise.
simbaud Membre du groupe
Age : 29 Nesquik : 13 Nombre de messages : 1517 Date d'inscription : 23/06/2014
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 21.09.14 11:04
Hier j'ai vu Bagdad Café , l'un des films les plus WTF que j'ai vu, où une Allemande, après s'être disputé avec son mari (on s'est pas trop pourquoi d'ailleurs ), arrive dans un motel et essaye de sympathiser avec les habitants.
Ce film est plutôt connu pour sa BO avec la chanson " Calling You" , donc j'ai bien aimé mais je sais absolument pas pourquoi
zinsky Pâtissière en chef
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Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 21.09.14 12:25
jamais pu voir plus de 15min environ. :sleep:
simbaud Membre du groupe
Age : 29 Nesquik : 13 Nombre de messages : 1517 Date d'inscription : 23/06/2014
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 21.09.14 14:03
Oui, le début est super bizarre, mais après ça va ça se regarde
zinsky Pâtissière en chef
Age : 50 Nesquik : 107 Nombre de messages : 5738 Date d'inscription : 13/01/2011
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 21.09.14 16:49
En fait, j'ai jamais trop supporté la chanson non plus.
simbaud Membre du groupe
Age : 29 Nesquik : 13 Nombre de messages : 1517 Date d'inscription : 23/06/2014
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 21.09.14 16:54
Ah oui, tu détestes vraiment tout dans le film quoi
CyberInflames Cybercritique
Age : 33 Nesquik : 122 Nombre de messages : 5104 Date d'inscription : 09/05/2011
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 21.09.14 21:39
Petite semaine côté films pour ma part : Grave Encounters 2 : Elle démarrait pourtant bien cette suite, notamment en mettant totalement en abyme le premier Grave Encounters. Un étudiant en cinéma remarque des évènements étranges entourant la production du film, si bien qu'il cherche à montrer que tout ce qui s'est passé dans cet hôpital psychiatrique était bien réel. En plus, ce deuxième long-métrage garde un ton satirique sur les films du genre actuels. Néanmoins, ce démarrage prometteur s'étire à n'en plus finir et, quand Grave Encounters 2 se décide enfin à entrer dans le vif du sujet, c'est pour s'orienter vers le teen movie le plus banal et enchaîner les situations grotesques. Le retour à l’asile est bref, et tout ce qui s'y passe n'est que redite du volet précédent, sans aucune ambiance angoissante. C'est juste un groupe d'ados avec tout ce qu'il faut de comportements et réactions débiles. Le petit supplément, c'est la volonté d'apporter des explications au surnaturel ; ce qui est encore plus stupide que de suivre les codes du genre.
Primer : Dans le genre premier film qui en impose, Primer est un coup de maître de la part de Shane Carruth, ubiquiste sur sa réalisation puisqu'on le retrouve à tous les postes. Pas forcément complexe dans son scénario, Primer s'avère toutefois extrêmement dense, notamment au niveau de ses explications noyées dans un langage scientifique étourdissant. Volontairement compliqués, les dialogues servent surtout à rendre le spectateur aussi hagard que l'expérience de voyage temporelle du film trouble les protagonistes. En dépit de son budget minimal, l’œuvre de Carruth se présente comme un des films majeurs sur le sujet, principalement de par son approche brute, réaliste, de concepts difficilement imaginables qui côtoient les paradoxes temporels. Limpide mais étrange, Primer se transforme, de ses révélations finales et ses quelques questions en suspens, en un véritable puzzle filmique où les indices ont été habilement disséminés depuis le départ. Du grand art narratif qui force alors à porter un regard nouveau sur Primer, quitte à s'en tordre les méninges.
Wrong : Wrong a lieu dans une réalité propice à l'absurde. Ce ne devrait plus être étonnant de la part d'un cinéaste tel que Dupieux, dont le précédent film était consacré à un pneu tueur. C'est pourtant un postulat de base qu'on a tôt fait d'oublier : il n'y a pas de sens à donner aux films du réalisateur. De l'étrange dans l'étrange, Dupieux en crée comme bon lui semble. D'un côté, le quotidien normal : des horloges qui affichent 7:60, des bureaux pluvieux,... de l'autre, des détails perturbants : un palmier qui se transforme en sapin, un lièvre pour illustrer un service rapide,... Autant de situations invraisemblables perçues à différents degrés par le petit monde de Wrong, et particulièrement Dolph Springer, qui cherche avant tout à retrouver son chien disparu. Ainsi, Wrong se suit avec un malin plaisir, au fil de dialogues savoureux et d'acteurs complètement investis dans des rôles insensés, même si, foncièrement, le film n'évolue pas beaucoup. Le tout baigne dans une photo lumineuse et assez naturelle qui ne fait que rendre la bizarrerie de Wrong plus sympathique.
Time Code : Time Code, c'est quatre plans séquence d'1h30, filmés en même temps, et présentés façon 24H Chrono - quatre cases à l'écran. Avec des acteurs en improvisation totale (Skarsgård et Tripplehorn sont très bons), les caméras se croisent par instant, s'échangeant des personnages. Côté son, le réalisateur jongle entre les cases. D'un concept absolument incroyable, Mike Figgis sort un film absolument laborieux, malgré son aspect expérimental. Le montage, dans un film classique, permet d'éviter le remplissage et, ici, il y en a pléthore, en plus d'une réalisation pauvre et d'une musique kitchissime. Le film ne devient vraiment intéressant que lorsque plusieurs caméras sont au même endroit et que tout s'agite, même si ce n'est pas pratique à suivre et qu'il n'est pas rare de revenir en arrière pour être sûr d'avoir tout vu dans chaque case. La coordination de l'ensemble est effectivement extrêmement complexe, mais on sent le film expérimental tourné au mieux. Time Code reste une œuvre à voir par principe, car l'exercice filmique y est impressionnant... et c'est tout.
Le Parfum - Histoire D'Un Meurtrier : Le Parfum est empli de grâce. Celle d'une bande-son absolument merveilleuse qui s'inscrit parmi les compositions cinématographiques les plus grandioses d'une génération. Tykwer, Klimek et Heil retranscrivent ainsi toute la puissance élégiaque d'un univers singulier, vécu à travers le perso principal - joué par un Ben Wishaw fabuleux - capable de sentir toutes les odeurs du monde. La beauté des arrangements, et d'un visuel d'époque à l'esthétique riche et sombre (18e siècle), parvient alors à nous faire frémir les narines. De ce fait, l’œuvre en devient par moment malsaine, dans son imagerie, ainsi que dans sa prise de position envers le meurtrier que l'on espère voir réussir, pour notre simple satiété artistique. Car la réalisation atmosphérique offre des plans sublimes, et une osmose musicale transcendée lors d'un finale qui assume pleinement sa dimension surréaliste. Avec Le Parfum, on ne peut s’empêcher d'être conquis par les 2h30 d'une œuvre enchanteresse qui a tôt fait de nous happer dans ses senteurs divines.
Errors Of The Human Body : Errors Of The Human Body est une de ces petites productions que l'on pense être prometteuse et aventureuse par rapport à son thème sur la génétique. Malheureusement, le long-métrage ne parvient jamais à dépasser la simple recherche pour améliorer le génome humain, et s'avère franchement banal, approchant pauvrement les questions d'éthique. D'un domaine scientifique vaste, le film se montre extrêmement réduit et prévisible, malgré tous les efforts de Michael Eklund pour assurer le rôle principal. La progression de l'histoire se veut réellement ennuyeuse, de par une réalisation quelconque et des personnages souvent mal écrits, mal joués, et clichés, que ce soit la collègue qui veut continuer l'amourette d'antan, le scientifique excentrique qui mène des expériences obscures, ou encore le protagoniste en proie à ses démons du passé... Même le dernier acte, riche en révélations et se permettant une fin pseudo-ouverte, ne parvient pas à bousculer les mœurs, ni à rattraper un film qui n'a rien de très sensationnel.
simbaud Membre du groupe
Age : 29 Nesquik : 13 Nombre de messages : 1517 Date d'inscription : 23/06/2014
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 21.09.14 22:20
Toi t'as aimé Le Parfum
CyberInflames Cybercritique
Age : 33 Nesquik : 122 Nombre de messages : 5104 Date d'inscription : 09/05/2011
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 21.09.14 22:25
Yeap, j'ai trouvé ça magnifique !
Alex Le petit marseillais
Age : 30 Nesquik : 112 Nombre de messages : 3571 Date d'inscription : 05/11/2010
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 22.09.14 2:27
Aaaah Cyber je te mets un Nesquick pour le Parfum ! Je me sentais tellement incompris à l'avoir adoré voire adulé en voyant toutes les critiques qu'il s'est mangé. J'suis content que la musique t'ait autant marqué , je pense que c'est une des plus belles BO que j'ai jamais entendues ... Les compositeurs réussissent à allier beauté , poésie , et folie pour nous faire rentrer dans la vision du monde de Grenouille , et c'est limite comme si ils nous faisaient sentir la musique. Je trouve la scène finale d'une beauté exceptionnelle , c'est ce genre de films à mélanger des émotions complètement incompatibles à la base.
simbaud Membre du groupe
Age : 29 Nesquik : 13 Nombre de messages : 1517 Date d'inscription : 23/06/2014
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 22.09.14 8:59
Allez un Nesquik pour Alex
CyberInflames Cybercritique
Age : 33 Nesquik : 122 Nombre de messages : 5104 Date d'inscription : 09/05/2011
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 22.09.14 9:33
Alex a écrit:
Aaaah Cyber je te mets un Nesquick pour le Parfum ! Je me sentais tellement incompris à l'avoir adoré voire adulé en voyant toutes les critiques qu'il s'est mangé. J'suis content que la musique t'ait autant marqué , je pense que c'est une des plus belles BO que j'ai jamais entendues ... Les compositeurs réussissent à allier beauté , poésie , et folie pour nous faire rentrer dans la vision du monde de Grenouille , et c'est limite comme si ils nous faisaient sentir la musique. Je trouve la scène finale d'une beauté exceptionnelle , c'est ce genre de films à mélanger des émotions complètement incompatibles à la base.
Carrément. Je pense comprendre pourquoi le film divise la critique, parce qu'il fait entrer le fantastique dans un univers qui pouvait sembler réaliste. Et que la fin se démarque vraiment. Mais, comme toi, la musique suffit à créer l'ambiance conductrice.
Shin Ton keupin du 0ueb
Age : 35 Nesquik : 227 Nombre de messages : 11481 Date d'inscription : 18/08/2010
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 22.09.14 12:53
J'me suis fais traîner jusqu'à Délivre nous du Mal, un film d'horreur (il parait) qui se regarde mais ultra prévisible, sachant que je matte aucun film d'horreur car pas mon délire, là c'était grillé à 1000 bornes, la musique se coupe et ce qui doit arriver arrive.
Les deux derniers que j'avais vraiment kiffer c'était caméra poing (Paranormal Activity (le 1) et REC) qui avait un cachet, sans être pour autant très effrayant
zinsky Pâtissière en chef
Age : 50 Nesquik : 107 Nombre de messages : 5738 Date d'inscription : 13/01/2011
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 22.09.14 12:55
je suis tout à fait d'accord avec vous. Mon problème avec la fin et que le film est réaliste tout le long et c'est seulement sur la fin que ça passe au fantastique. Du coup, ça donne un effet too much pour moi. Ceci dit, le film reste très bon en soit, que ce soit en scénario, décor, ambiance...
Alex Le petit marseillais
Age : 30 Nesquik : 112 Nombre de messages : 3571 Date d'inscription : 05/11/2010
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 22.09.14 19:13
CyberInflames a écrit:
Carrément. Je pense comprendre pourquoi le film divise la critique, parce qu'il fait entrer le fantastique dans un univers qui pouvait sembler réaliste. Et que la fin se démarque vraiment. Mais, comme toi, la musique suffit à créer l'ambiance conductrice.
Justement , je trouve ça vraiment innovant et perturbant , dans le bon sens du terme ! On devrait explorer un peu plus ce mélange ... Et " Meeting Laura " est sublime aussi
CyberInflames Cybercritique
Age : 33 Nesquik : 122 Nombre de messages : 5104 Date d'inscription : 09/05/2011
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 23.09.14 14:53
Yeap, bah ce sont les mêmes compositeurs qui ont fait Cloud Atlas.
Sinon, nouvelle BA du prochain film de Vaughn (Kick-Ass, X-Men First Class)
simbaud Membre du groupe
Age : 29 Nesquik : 13 Nombre de messages : 1517 Date d'inscription : 23/06/2014
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 28.09.14 19:04
Incassable : Film relatant l'histoire qui sort de catastrophes (accident de voitures ou de trains) toujours indemne et qui va se rendre compte qu'en fait il est un héros de comics. Le scénario ne donne pas forcémznt envie, mais le film arrive à nous faire accrocher à l'histoire avec des acteurs plus que convaincants : Bruce Willis et Samuel L.Jackson (Pulp Fiction)
Dragons 2 : Je crois que ce film fait partie des rares où la suite est VRAIMENT réussie, j'ai beaucoup aimé et n'ai pas regretté d'être allé au cinéma pour le voir ^^