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 Dernier film vu et plus si affinités

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simbaud
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simbaud

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Dernier film vu et plus si affinités - Page 50 _
MessageSujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités   Dernier film vu et plus si affinités - Page 50 Empty29.12.14 14:40

Ouais il est cool, le 3 est en revanche un peu plat par moments :/ 

non et puis la musique du générique de l'ancienne trilogie est juste trop cool I love you 

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Justine
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Justine

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Dernier film vu et plus si affinités - Page 50 _
MessageSujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités   Dernier film vu et plus si affinités - Page 50 Empty29.12.14 15:21

Merci Cyber Smile
Et je suis d'accord pour Spider-Man 2 ! Je le regarde assez régulièrement.
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Shin
Ton keupin du 0ueb
Shin

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Dernier film vu et plus si affinités - Page 50 _
MessageSujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités   Dernier film vu et plus si affinités - Page 50 Empty04.01.15 18:00

Vu HORNS avec D.Radcliffe, un peu wtf mais pas mal
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CyberInflames
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CyberInflames

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Dernier film vu et plus si affinités - Page 50 _
MessageSujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités   Dernier film vu et plus si affinités - Page 50 Empty04.01.15 21:27

Petit récap des films vus pendant la semaine, entre deux années :
Spy Game : Avant de réaliser des films contraints de finir en DTV, ou de signer des contrats d'exclusivité avec Denzel Washington, Tony Scott savait faire de très bons thrillers d'action. Par exemple, dans Spy Game, il parvient à capter l'attention du spectateur grâce à une mise en scène dynamique, et ainsi l'impliquer du fait de nombreux inserts de plans de détails qui donnent une vision d'ensemble de chaque scène. Dans ce genre de scénario aux faux semblants, où tout le monde collabore et manigance contre chacun, c'est un aspect primordial. Racontant alors son histoire principalement en flashbacks, le scénario peut sembler par moments passif et décousu pour nous présenter les diverses motivations des personnages. Surtout celui joué par Robert Redford qui ne coure jamais vraiment de risques et paraît avoir toujours un coup d'avance. Toutefois, grâce à un sens du montage adroit, et des confrontations verbales finement écrites, Tony Scott réussit à faire de Spy Game un thriller captivant et divertissant.

Solomon Kane : Solomon Kane est un long-métrage navrant où les effets kitsch frisent très souvent le ridicule. Dans un univers fantastico-médiéval déjà maintes fois vu au cinéma, le réalisateur cherche à créer un anti-héros badass, s’inspirant davantage des comics que de sa littérature d'origine. Ainsi, Solomon Kane est un homme sombre et torturé, ancien pirate repenti dont le diable réclame tout de même l'âme. Ce qui donne lieu à un scénario au rythme pauvre, extrêmement prévisible et regorgeant de défauts d'écriture. Le personnage principal est affreusement mal traité, et l'ensemble du casting nous gratifie de prestations mauvaises. Malgré quelques bonnes idées dans les décors, les costumes, ou les rares créatures, la mise en scène se veut banale et peu inventive, incapable de dynamiser des chorégraphies mollassonnes. Pourtant, avec Klaus Badelt à la BO, on aurait pu espérer des thèmes épiques, mais le compositeur semble ne s'être arrêté qu'au brouillon. Et puis, James Purefoy, en incarnant Solomon Kane, a tout l'air d'un Van Helsing du pauvre qui aurait trop longtemps côtoyé Beowulf.

I Origins : Autant, sur Another Earth, on pouvait excuser le réalisateur (scénariste, producteur et monteur) Mike Cahill des imperfections qui jalonnaient ce premier film, autant sur I Origins, on comprend que le cinéaste veut plutôt en faire un style, qui n'est pas viable pour ses œuvres. Sur un fond de SF extrêmement léger, il commence par développer une intrigue amoureuse dramatique, avant d'aborder une thématique plus ambitieuse. Seulement, Cahill met trop de temps à présenter les véritables enjeux de l'histoire (30 min avant la fin) qui, au final, ne font qu'appuyer le superflu de nombreuses scènes précédentes. Le canevas du long-métrage aurait pu être complètement décalé, sauf que le réalisateur, comme sur son précédent film, ne semble pas savoir comment traiter les thèmes intéressants qu'il présente, préférant les laisser en suspens. I Origins est pourtant joliment construit avec une mise en scène typiquement indie et une belle lumière naturelle qui rendent l'histoire plus poétique et vraisemblable, mais ne servent, en fin de compte, qu'à habiller du vide.

Frank : Beaucoup verront, à travers Frank, une adaptation libre du personnage Frank Sidebottom de Chris Sievey, pour l'utilisation, notamment, de la même tête en papier-mâché sphérique et cartoonesque par le frontman du groupe. Toutefois, Frank est bien plus généraliste que cela. Avec son ton absolument décalé, et son charme British incomparable, le long-métrage de Lenny Abrahamson se révèle être un road movie atypique inspiré de tous ces groupes de Rock psychédélique un peu expérimentaux, où les musiciens semblent complètement déphasés du monde. On suit ainsi un groupe au nom imprononçable, composé de membres déjantés, enchaînant les concerts ratés et s'isolant des mois pour enregistrer un album. Derrière sa musique vibrante et saugrenue, ses situations extravagantes et son lot de personnages exubérants, Frank, emmené par un Michael Fassbender brillant (même si masqué), dresse un portrait dramatique et savoureux de ces artistes bipolaires, à la sensorialité exacerbée et souvent incomprise, qui ravira assurément n'importe quel mélomane.

Jonah Hex : Pas de surprise avec Jonah Hex ; on se retrouve dans le même cas que Solomon Kane, à l'exception du contexte Western. Même si, pendant une bonne demi-heure, le film donne l'impression d'être un peu plus potable, il finit alors par sombrer dans des creux scénaristiques d'une mollesse soporifiques. En plus de cela, les one-liners sont affligeants de nanardise, les deus ex ringards, et les accords Country/Rock qui laissaient entrevoir un film décomplexé et fun deviennent vite redondants, assommants, au sein d'un mixage sonore désastreux. Ce n'est même pas étonnant de voir le duo Neveldine/Taylor au scénario tant on sent qu'ils essaient de traiter le personnages comme un Ghost Rider au Far West. Mais entre des plans qu'on croirait tirés de Lucky Luke, des explosions improbables et cache-misère dans tous les coins, et des personnages aucunement travaillés - dont Brolin qui manque cruellement de charisme - même les froufrous de Megan Fox, ou alors les efforts de Malkovitch et Fassbender, ne parviennent pas à sauver le long-métrage, et son finale lamentable.

Lebanon : À trois plans près, Lebanon se déroule exclusivement dans l'enceinte de tôle étriquée et crasseuse d'un tank israélien lors de l'invasion du Liban en 1982. Cette fiction se concentre sur ces quatre militaires israéliens qui vivent l'avancée de leurs troupes dans un bloc de ferraille grondant, suintant l'huile et couvert de munitions et déjections. Les seules contacts avec le monde extérieur qu'ils ont - et que le spectateur a également - se font à travers le viseur, par communication radio, ou bien par quelques visites de leur supérieur. Samuel Maoz ne cherche pas vraiment à dépeindre la guerre, ou plutôt son horreur, mais l'impact qu'elle a pu avoir sur certains de ses soldats enrôlés, comme lui, sans grande préparation. Il manque toutefois un peu de dynamique à Lebanon pour réellement briller, ainsi qu'une bande-son pour appuyer davantage les moments de tension et dramaturgie qui surviennent aléatoirement. En effet, les réactions sont assez étranges sur un champ de bataille, et la claustrophobie n'est pas assez ressentie, même si les gros plans sur les visages souillés sont impressionnants.

Le Congrès : Faute à l'affiche, ce film que je pensais être totalement animé, alors qu'il ne l'est qu'à moitié, m'a laissé une impression mitigée. Car la scission artistique ne semble pas être primordiale dans cette histoire qui paraît en contenir deux. Commençant par mettre en abîme l'industrie cinématographique et l'image des stars, l’œuvre d'Ari Folman vire ensuite au conte futuriste, au travers d'une animation surréaliste. Malgré la simplicité du trait, l'alchimie entre le dessin extravagant et les couleurs pastels et pétillantes offre de jolis tableaux. Toutefois, on a l'impression que Folman se sert simplement de ce médium pour exprimer toutes ses envies animées, ou bien pour satisfaire un tournage live qu'il n'a pas pu s’offrir. Si l'aspect fantasque est fascinant, l'histoire est décousue et insaisissable. Quand bien même quelques explications sur une dualité hallucination/réalité sont lâchées, elles manquent de concordance par rapport aux scènes ultérieures. Non dénué d'ambition, de jolis moments de poésie et de spectacle, Le Congrès se veut beaucoup trop inconsistant, et mal accordé dans sa singularité.

A Scanner Darkly : À première vue, A Scanner Darkly est un énième film de dealers façon Guy Ritchie. Mais, à bien y regarder, il se démarque instantanément de par son traitement visuel. Grâce à une animation en rotoscopie, Richard Linklater donne ainsi un aspect unique à son long-métrage. Le résultat est pour le moins étrange, mais on ne peut plus adéquat aux troubles sensoriels causés par la drogue au cœur du film. Et puis, c'est assez fascinant de voir les visages de Reeves, Downey Jr. et Harrelson en traits pleins. Toutefois, d'un univers tiré d'un roman de Philip K. Dick, l'animation et les palettes de couleurs peinent à rendre vraiment compte de ce futur proche, presque dystopique - hormis quelques gadgets technologiques. Le contexte n'est pas très bien présenté et, finalement, A Scanner Darkly, hormis son visuel, a tout l'air d'un autre film de drogués. Par ailleurs, le long-métrage possède quelques soucis de rythme et de linéarité, rendant ainsi la dualité centrale du protagoniste souvent secondaire, quand bien même la conclusion apporte un nouveau regard sur l'histoire.

Princesse Mononoké : Princesse Mononoké est le premier Miyazaki que je vois en près de vingt ans, après avoir usé les bandes VHS de Porco Rosso et Totoro dans ma plus tendre enfance. C'est donc assez surprenant de se retrouver face à une œuvre aussi sombre et violente, à mille lieues des Disney de l'époque. Princesse Mononoké, lui, regorge de séquences cauchemardesques, et absolument splendides d'un point de vue technique, qui défient le temps : toute cette forêt qui se transforme, abritant moult créatures au trait mémorable, et un usage du CGI judicieux. Derrières ces visions démoniaques, il y a surtout ce thème écolo-environnementaliste omniprésent, frappant de par la mise en scène de Miyazaki, contrastant la sauvagerie des batailles avec une certaine poésie, soulignée par la bande-son - même si ce n'est pas la plus marquante des Ghibli. Le héros est, du coup, un peu effacé au profit de cela, ou même de l'anti-héroïne, tout comme quelques points scénaristiques survolés. Néanmoins, tout ce nouvel univers plus noir et mature, de la part de Miyazaki, n’en finit pas d'impressionner.

L'Étoffe Des Héros : Inspiré par le programme Mercury, L'Étoffe Des Héros se présente comme un film historique avec, toutefois, de nombreuses situations fictionnelles. S'il réussit parfaitement à montrer la propagande américaine sur l'héroïsme de ces "pilotes", il accuse une longueur démesurée (plus de 3h), plombée de nombreuses séquences dispensables (et inventées) qui ne font que dévier l'attention du vrai intérêt du film : la conquête spatiale d'après-guerre. Par ailleurs, il y a un penchant trop prononcé pour la comédie (surtout avec les sourires de bêtas de Quaid et Glenn), qui annihile toute dramaturgie, ainsi qu'un point de vue très restreint sur les événements. Pour autant, les scènes de vol et décollages sont impressionnantes, servies par d'excellents effets spéciaux. Si L'Étoffe Des Héros avait pu se contenter d'une centaine de minutes, sans trop s'égarer, il n'aurait néanmoins pu se défaire de sa dernière heure - brillante - aux vues de cockpit/capsule sensationnelles, et dont le vol saisissant de l'astronaute John Glenn tutoierait presque Kubrick.

The Guest : Du pénible A Horrible Way To Die au très percutant You're Next, Adam Wingard se révèle désormais bien aguerri sur The Guest, avec une mise en scène propre, et toujours ses effets de style bien dynamiques. Un bémol toutefois : son adoration pour la Synthpop des années 80 qu'il nous ressert sur chacune de ses œuvres. L'ambiance classe et aérienne escomptée devient alors un simple tique artistique qui amène un kitsch non nécessaire, malgré une très bonne BO prise à part. A contrario de Wingard, son scénariste attitré - Simon Barrett - ne semble pas jouir de la même progression et écrit un film qui trébuche sur son sujet, et tente de se rattraper avec tous les clichés du teen/slasher movie, en plus d'explications de séries B. Pourtant, on apprécie ce beau gosse charismatique qui débarque dans la vie de cette famille endeuillée et règle les torts en se salissant les mains. Wingard sait nous le vendre, mais le retournement n'est pas très palpitant. Et puis, tout le film, on se demande surtout qui de Ryan Gosling, ou de Paul Walker, Dan Stevens tente le plus d'imiter.

Only Lovers Left Alive : Avec Only Lovers Left Alive, Jim Jarmusch réinvente le mythe du vampire, avec un romantisme et classicisme déconcertant. À mille lieues de la représentation de Dracula, ou même des films Universal, ce n'est pas l'effroi que cherche à provoquer Jarmusch, mais l'envoûtement. Sans mal, au vu des prestations absorbantes de Tom Hiddleston et Tilda Swinton, silhouettes longilignes pâle et d'ébène merveilleusement contrastées, et mises en relief par le personnage plus mordant de Mia Wasikowska. Sous leurs allures de Rock stars des années 80 aux goûts de haute bourgeoise, Jarmusch instille sa propre vision à cette créature millénaire. Il y a peu de digression sur la mythologie du film, si ce n'est quelques conversations riches qui insinuent quelques pistes, ainsi que des piques amusantes sur les clichés du vampire. Poétique tout en étant cryptique, l’œuvre manque juste d'une émotion vive, même si la BO aux multiples saveurs (Rock, Doom, acoustique, Noise...) a vite fait de nous charmer et nous envelopper doucereusement dans cet univers plutôt chatoyant.
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Shin
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MessageSujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités   Dernier film vu et plus si affinités - Page 50 Empty04.01.15 22:14

Solomon Kane, pire film vu au cinéma dans ma vie, mais vraiment, rien a garder !
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Leti38
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MessageSujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités   Dernier film vu et plus si affinités - Page 50 Empty04.01.15 23:37

Les dernier films que j'ai vu (chez moi) sont The Dark Knight Rises et Comment Tuer Son Boss entre hier soir et cet aprem. Tout d'abord c'était la première fois que je voyais ces films. Etant donné que je veux absolument voir Comment Tuer Son Boss 2 au ciné il fallait que je le vois en "urgence", et j'ai adoré, généralement je ne regarde pas vraiment les films comiques à part les films de parodies du genre Scary Movie, je n'ai même pas vu Very Bad Trip mais on m'en dit que du bien Smile , pour revenir à Comment Tuer Son Boss, j'ai juste adoré, je n'ai jamais autant ris, je ne pensais pas que ce film pouvais me plaire à ce point. Et cet aprem je me suis fais The Dark Knight Rises parce que ça fait un moment que le Blu-Ray est chez mes parents que je n'ai jamais pris la peine de le regarder mais si je mourrais d'envie de le voir, chez mes parents il y a la trilogie ces temps-ci j'ai vraiment voulu les voir comme ça c'est fait je serais moins larguée avec mes potes de la fac x) je ne dirais pas que c'est le meilleur film que j'ai pu voir mais c'était bien et je suis admirative du travail de Christopher Nolan qui pour moi est juste génial. 

Sinon au cinéma le dernier film que j'ai vu est Dumb & Dumber de, c'était sympa mais il n'y avait pas un super "niveau" je trouve, je ne pense pas le revoir.

Maintenant les prochains films que je compte me faire sont Le Seigneur Des Anneaux : Le Retour Du Roi (DVD) et au cinéma Comment Tuer Son Boss 2, Cold In July, A Most Violent Year et Exodus (déjà demain je vais aller voir 1 ou 2 films)
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zinsky
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MessageSujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités   Dernier film vu et plus si affinités - Page 50 Empty05.01.15 8:22

Je viens de voir hunger game 1 bon film dans l'ensemble, hate de voir le 2 même si quelques petits trucs, un peu too much, m'ont gêné.
Dum&dumber parce que je voulais voir le 2 au ciné : très delirant, me faut vraiment etre dans de bonnes dispositions pour apprécier ce niveau mais je me suis rapidement endormie devant, so .... en attente.
Un heureux evenement : 1er film sur le sujet que je trouve très réaliste dans les scenes, le jeu d'acteur, les sentiments, les relations aux autres, les bouleversements, la spirale de vie qui vous prend, et dans le choix d'un vrai nouveau né pour jouer le rôle enfin! Le film le plus juste que j'ai vu.
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Shin
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MessageSujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités   Dernier film vu et plus si affinités - Page 50 Empty05.01.15 14:56

Vu Frozen, depuis le temps que tout le monde en parle, un bon disney ma foi !
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CyberInflames
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MessageSujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités   Dernier film vu et plus si affinités - Page 50 Empty05.01.15 16:39

Une vraie comédie musicale, j'ai pas spécialement apprécié Laughing
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Shin
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MessageSujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités   Dernier film vu et plus si affinités - Page 50 Empty05.01.15 17:16

Un poil trop de chansons je te l'accorde !

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Dernier film vu et plus si affinités

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