Age : 33 Nesquik : 122 Nombre de messages : 5104 Date d'inscription : 09/05/2011
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 01.08.14 7:14
Oui, enfin c'est pas non plus sous-titré à mort hein ^^
Le problème de Durendal, c'est qu'il dit que c'est son avis, mais il est incapable de discuter sans te prendre pour une merde et couper court à l'échange en essayant de clasher parce que Monsieur est dans une école de ciné.
Shin Ton keupin du 0ueb
Age : 35 Nesquik : 227 Nombre de messages : 11481 Date d'inscription : 18/08/2010
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 01.08.14 16:52
Vu Les Brasiers de la Colère avec Bale, Harrelson, Affleck petit et d'autres beaux noms. Sans avoir pris une claque, le film est vraiment bon, on navigue sur un fil de tension tout du long c'est vraiment captivant.
Puis Bale, quel putain d'acteur.
RMi Membre du groupe
Age : 27 Nesquik : 69 Nombre de messages : 5187 Date d'inscription : 15/12/2011
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 01.08.14 17:43
Un bon joueur de foot aussi.
Pardon.
Shin Ton keupin du 0ueb
Age : 35 Nesquik : 227 Nombre de messages : 11481 Date d'inscription : 18/08/2010
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 03.08.14 20:32
Du coup sans surprise, à part Eva Green quand elle se fait sauter, 300 Rise of an Empire c'est nul, surjoué et pff, je me surprend à l'avoir regarder jusqu'au bout, quand on voit comment le un était une tuerie, c'est déprimant, m'enfin...
Blackout Blood in your eye
Age : 32 Nesquik : 39 Nombre de messages : 2940 Date d'inscription : 05/02/2011
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 03.08.14 20:34
Rahhhh la scène avec Eva Green....
Alex Le petit marseillais
Age : 30 Nesquik : 112 Nombre de messages : 3571 Date d'inscription : 05/11/2010
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 03.08.14 20:40
Moi il me fait rire Durendal
Hier soir j'ai enfin vu Jurassic Park , qu'on ne présente plus , une grande maîtrise des effets spéciaux pour un film de 1993 , une musique somptueuse , un film qui joue plus sur l'angoisse que sur le côté " merveilleux " des dinosaures et je déplore peut-être que seule la première scène à Jurassic Park montre l'ampleur de celui-ci avant le début des péripéties. Un film également plutôt symbolique et qui emmène à des questions intéressantes ( " On peut mais est-ce qu'on doit ? ") Ceci étant , cela reste un must-see même si il me marquera peut-être moins que les personnes l'ayant vu à sa sortie.
Shin Ton keupin du 0ueb
Age : 35 Nesquik : 227 Nombre de messages : 11481 Date d'inscription : 18/08/2010
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 03.08.14 21:09
Je connaissais pas Durendal j'ai matté, y'a vraiment des gens qui se tape 15min de vidéo pour entendre un mec dire des trucs genre "là c'est bien filmé, là moins bien, par contre j'aime bien l'encodage" ?
Alex Le petit marseillais
Age : 30 Nesquik : 112 Nombre de messages : 3571 Date d'inscription : 05/11/2010
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 03.08.14 21:31
Franchement je pensais comme toi au début mais au final ça se laisse plutôt bien regarder , l'avantage par rapport aux autres c'est que ses vlog concernent les films qui sortent au ciné actuellement , et ça fait toujours une critique à prendre
Micox Vomicox
Age : 29 Nesquik : 40 Nombre de messages : 2072 Date d'inscription : 11/10/2010
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 03.08.14 21:42
Moi perso' j'ai vu Buzz l'Eclair le film ...
ChocoPillow Membre du groupe
Age : 33 Nesquik : 152 Nombre de messages : 4468 Date d'inscription : 17/10/2011
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 03.08.14 21:51
Moi je me suis tapé les 3 premiers Terminator dans le week-end, une putain de bonne série ! Je sais pas si j'ai envie de voir le quatrième cela-dit vu que c'est plus Schwarzy... Pour Jurassic Park c'était mon film favori quand j'étais petit, et je l'ai revu y'a pas longtemps, ça m'a fait plaisir j'ai redécouvert le film. Quand on est gamin on comprend pas tout...
Jonathan Monsieur Live
Age : 32 Nesquik : 44 Nombre de messages : 5036 Date d'inscription : 29/08/2010
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 03.08.14 22:46
Jurassic Park repasse tous les ans à la TV chez nous, il me semble souvent en période de fêtes de fin d'année. Et sans pouvoir l'expliquer, je ne suis pas fan de cette saga. Je ne sais pas si j'ai vu les films en entier, je ne sais pas non plus si je les ai tous vus. Et j'ai pas tellement envie de les voir non plus. J'ai pas dit que j'aimais pas. Il me fait ni chaud ni froid. Par contre je suis légèrement tenté de voir Jurassic World.
zinsky Pâtissière en chef
Age : 50 Nesquik : 107 Nombre de messages : 5738 Date d'inscription : 13/01/2011
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 04.08.14 16:55
t'inquiètes j'ai vu Jurassic park à sa sortie au ciné et moi non plus il m'avait pas emballé. Pareil : ni chaud ni froid.
Alex Le petit marseillais
Age : 30 Nesquik : 112 Nombre de messages : 3571 Date d'inscription : 05/11/2010
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 04.08.14 17:00
Ben cette scène là m'a vraiment foutu les frissons , sinon ça se dégrade après je trouve
Shin Ton keupin du 0ueb
Age : 35 Nesquik : 227 Nombre de messages : 11481 Date d'inscription : 18/08/2010
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 04.08.14 17:34
déchire jurassic park en plus y'a park comme dans linkin park
zinsky Pâtissière en chef
Age : 50 Nesquik : 107 Nombre de messages : 5738 Date d'inscription : 13/01/2011
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 04.08.14 17:46
Shin a écrit:
déchire jurassic park en plus y'a park comme dans linkin park
y a que ça.
CyberInflames Cybercritique
Age : 33 Nesquik : 122 Nombre de messages : 5104 Date d'inscription : 09/05/2011
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 04.08.14 18:50
Récapitulatif des visionnages de la semaine passée : Photo Obsession : Photo Obsession est un film troublant, car son thème n'aurait pu être plus réaliste et d'actualité, alors qu'il date de 2002. Un développeur de photos qui s'occupe des clichés d'une même famille depuis une dizaine année finit par connaître leur vie par l'intermédiaire de leurs pellicules, et fantasme secrètement d'en faire partie. En stalker méticuleux, Robin Williams est totalement dérangeant, dans un personnage effrayant de par ses techniques détestables, mais pour lequel on ne peut s'empêcher d'avoir de la compassion. Il est d'autant plus fascinant qu'on en vient à penser à tous ces détails que nous-mêmes laissons de notre vie sur les réseaux sociaux. Par ailleurs, le duo Heil & Klimek apporte une bande-son hypnotique, oppressante et malsaine à souhait, qui accompagne merveilleusement les quelques plans séquence, ou plus abstraits. À première vue fade, la mise en scène regorge de génie et chamboule totalement le film en cours de route avec une imagerie peaufinée qui suffit à rendre ce Thriller particulièrement marquant.
Non-Stop : Désormais une figure phare des films d'action, Liam Neeson joue dans un peu tout et n'importe quoi. Pourtant, Non-Stop s'amorce de façon plutôt intéressante, un peu dans la veine de Le Territoire Des Loups, avec un début de film plongé dans un brouillard mélancolique pour refléter l'état d'esprit du personnage. Même la mise en place du Thriller dans l'avion est assez efficace, notamment de par cette ambiguïté de mystère et de paranoïa. Et puis le long-métrage devient un foutoir des plus classiques et accumule les clichés et grosses facilités de résolution. Déjà fort d'une réalisation extrêmement banale, ou même les séquences d’action laissent à désirer, ainsi que d'une bande-son inexistante, le long-métrage se permet aussi de gâcher un casting honorable. Dockery et Moore ne sont que des pions, et Lupita Nyong'o a une présence minime, pour ne pas dire nulle. Même Neeson, en dehors de son charisme de baroudeur, n'est pas fait pour ce rôle. Il est juste là pour faire la même chose que d'habitude, soit un film d'action qui se laisse regarder.
La Vénus À La Fourrure : S'inspirant intelligemment du roman de Sacher-Masoch, La Vénus À La Fourrure propose une mise en abîme théâtrale de ce récit érotique, où réalité et jeu de rôle sont par moment indiscernables à mesure que cette histoire d'amour et soumission progresse. D'une mise en scène brillante et captivante, Polanski navigue entre les deux univers et parvient à nous faire ressentir cette alchimie déroutante qui s'installe entre les deux personnages. Notons la très bonne direction d'acteur, même si dans les rôles "réels", Seigner est clairement insupportable, et les deux persos ont des comportement exagérés. C'est finalement quand ils jouent la pièce de théâtre qu'ils sont les plus magnétiques. La façon dont l'histoire se meut entre les acteurs, qui passent sans prévenir d'un rôle à l'autre est excellente. Si Desplat est inutile, on apprécie particulièrement les bruitages légers qui accompagnent les mimes.Toutefois, le long-métrage finit par sombrer dans un dernier acte des plus ubuesques qui a des airs de conclusion bâclée.
Mad Max : Voilà donc ce premier film qui marque la naissance d'une figure mythique du cinéma d'action post-apocalyptique. En fait, c'est surtout grâce aux quinze dernières minutes, comme Ash dans Evil Dead en quelque sorte. Avant d'être Mad Max, il était simplement Max, un intercepteur un peu bad ass dans un outback futuriste en pénurie pétrolière. Du coup, pendant 1h15, on suit son histoire, mais ce n'est pas vraiment ce qu'on retiendra du personnage, ni ce qui a fait sa légende. Certes, les paysages arides australiens, et l'omniprésence des motards antagonistes, donnent un ton oppressant et dangereux. Qui plus est, malgré le budget, et l'époque, les courses-poursuite sont pas mal filmées. Toutefois, la musique est trop envahissante, et discordante, et l'ambiance kitsch cuir moustache peut se révéler plutôt amusante. En fin de compte, ce dernier quart d'heure offre un nouveau souffle au film, mais apparaît bien vite expédié tant on a l'envie d'en voir davantage de ce Mad Max vengeur et impitoyable.
Mad Max 2 : C'est dans ce deuxième volet que l'on reconnaît enfin Mad Max. Homme solitaire et taciturne qui fuit un passé tragique - le récapitulatif d'ouverture rend d'ailleurs le premier film un peu plus futile - au cœur du désert australien. Sur terre et dans les airs, Miller utilise pleinement son budget décuplé (on regrette les transitions horizontales cheap) pour récréer tout un univers post-apocalyptique superbe et culte. L'ambiance brute est très bien rendue par cet environnement sableux et aride, et les plans larges sont fantastiques. Brian May est également plus à l'aise à la composition, accompagnant parfaitement l'action multiple et au nombreux rebondissements. Ce dernier quart d'heure, notamment, d'une chevauchée démente à travers le désert, au volant d'un camion citerne et poursuivi par des sauvages assoiffés de sang et d'essence, même si leur cuir sadomaso prête encore à sourire. Avec un Gibson charismatique, un design mémorable et des scènes d'action violentes renversantes, ce Mad Max 2 est vraiment une petite pépite d'époque.
Mad Max 3 : En trois films, Miller expose finalement trois univers et visions bien différentes du personnage. Ici, on délaisse l'aspect phare et identitaire de Mad Max pour une aventure à portée familiale. Situé vingt ans plus tard, le long-métrage se découpe grossièrement en trois parties pas toujours très cohérentes. Tout d'abord, Miller explore le post-apocalyptique industrialisé avec cette ville au milieu du désert (influence de Star Wars ?), visuellement riche et intrigante. Puis vient un passage totalement mystique digne du futur d'H.G. Wells avec une colonie de gosse cachée dans une nature rocailleuse, et élevée aux légendes modernes. Enfin, le film revient sur une course-poursuite dans le désert à bord d'une locomotive. Le personnage de Mad Max perd assurément de sa symbolique, et Maurice Jarre change le ton du film pour coller à cette ambiance un peu plus fantastique. D'ailleurs Turner et ses sbires semblent venir d'une autre œuvre. Si Mad Max 3 est riche en péripéties, il se montre toutefois bien trop guilleret pour ce personnage clé du post-apocalyptique.
Destination... Lune ! : Il y a de ces films d'un autre temps qui sont toujours aussi incroyables, même s'ils datent d'il y a pratiquement 65 ans ! Une ère où la science-fiction de l'époque est souvent devenue une uchronie de la nôtre. Et encore, ce Destination... Lune ! s'en tire avec brio. En étant un des tous premiers films parlant et en couleur de la science-fiction spatiale, il était prédestiné à devenir figure de proue d'un genre désormais culte. Mais là où Rocketship X-M sorti quelques jours avant suintait clairement la série B fauché, le film de George Pal, lui, est des plus sérieux et réalistes. Bien sûr, encore loin de la maturité que le genre finira par gagner dans les décennies suivantes, mais de voir un film aussi réaliste, sorti en 1950, et accompagné d'une histoire captivante en mésaventures spatiales qui ne cesseront de réapparaître dans les œuvres futures, et même instructive, on ne peut que saluer la prouesse. Si ce n'était pour ce format 4:3, et ces cadrages typiques sur le carton-pâte, on aurait du mal à lui donner autant d'années. Car les effets sont excellents, notamment ce "respect" des lois de la gravité, et la sortie dans l'espace est bien mieux réalisée que des films des années 80. Un classique à voir absolument. Impressionnant !
Lost Destination : Eduardo Chapero-Jackson, le réalisateur, a sans doute voulu extérioriser ses frustrations d'une jeunesse difficile avec ce Lost Destination. Sara est une ado de 15 ans qui ne s'entend pas avec ses parents, ni ses camarades, et finit par vouloir se suicider. Lost Destination n'est toutefois pas un teen drama classique et traite ce thème ronflant de l'acceptation de soi en le mettant en parallèle avec tout un univers fantastique. Ainsi, Sara se retrouve plongée dans ce monde sombre et torturé, étrangement similaire à Ink, et doit en percer les mystères. Cette mise en scène permet alors un visuel plutôt original, aux ténèbres intérieures stylisées et quelques effets d'ambiance intéressants. Tout du moins quand le long-métrage n'est pas alourdi par ces passages d'animations médiocres et futiles, et des séquences Hip Hop qui frisent le ridicule. Un peu comme les dialogues sensés montrer/redonner l'estime de soi qui sont plutôt gênants à regarder. Du coup, ce Lost Destination se perd dans une écriture bien maladroite, et a plus l'air d'un jeu-vidéo que d'un film.
Grace : Grace est un film qu'il faut éviter de mettre devant les yeux des futures mamans. Assurément crade, et parfois malsain, le long-métrage raconte un accouchement mené à terme, alors que le bébé était mort depuis trois semaines. Miraculeusement, aux supplices de sa mère sous le choc, le nouveau-né reprend vie, mais la mort rôde. Ce genre de pitch improbable qu'on ne trouve que dans les petits films d'horreur. Néanmoins, il n'est pas question de possession démoniaque, ni d'autre entité fantastique. Juste un coup de sort. Le réalisateur essaie de mettre en place une ambiance poisseuse, et il y a des passages clairement dérangeants, même lorsque simplement suggérés. Toutefois, l'intervention de la belle-mère est bien superflue et tendrait à rappeler l'excellent À l'Intérieur. Surtout que dès qu'on sort de la maison, Grace n'est pas bien folichon. Le concept n'est pas totalement exploité, avec une mère bien trop sereine face aux évènements, et un avorton trop bien portant. Mais cette mouture a déjà de quoi nous faire serrer les dents.
The Last Days On Mars : Les films de science-fiction se déroulant sur Mars ne sont pas nombreux, et l'approche plutôt réaliste de ce The Last Days On Mars en faisait d'office une œuvre digne d'intérêt. Malgré son démarrage un peu contemplatif, le long-métrage vire rapidement au film de zombie banal, si ce n'est pour le cadre, avec quelques flashbacks mystérieux pour la forme vite oubliés par la suite. Au cours de l'intrigue, on pense à Prometheus en version budget réduit, Apollo 18 sans found footage, et un petit peu de Moon, le tout évidemment retranscrit sur Mars. C'est d'ailleurs de ce côté que le film s'avère réussi puisque l'ambiance de la Planète Rouge - désert de Jordanie - est tout à fait convaincante. Malheureusement, le scénario n'est vraiment pas original, avec des personnages clichés et des acteurs qui se montrent très moyens ; Liev Schreiber s'en sort pas trop mal, mais n'intéresse pas pour autant. Qui plus est, il suffit d'un peu d'agitation pour que le montage devienne illisible. Finalement, Ruairí Robinson serait resté sur Terre que ça n'aurait rien changé.
Micox Vomicox
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Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 06.08.14 12:57
Le film sort le 3 septembre en DVD et Blue-Ray, on devrait pouvoir se le procurer dans ces eaux-là !
Toti Membre du groupe
Age : 26 Nesquik : 17 Nombre de messages : 2620 Date d'inscription : 31/08/2012
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 06.08.14 13:27
Je suis en train de le télécharger, donc bon... :langue: Mais par contre il est pas en torrent.
EDIT: J'ai regardé vite fais, le son à l'air de grésiller par moment, mais ça reste regardable.
Micox Vomicox
Age : 29 Nesquik : 40 Nombre de messages : 2072 Date d'inscription : 11/10/2010
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 06.08.14 16:55
Si on est tombé sur la même chose Toti, je n'ai pas le doublage français officiel ... je repasserai en septembre
Toti Membre du groupe
Age : 26 Nesquik : 17 Nombre de messages : 2620 Date d'inscription : 31/08/2012
Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 06.08.14 17:11
Ah oui en effet, c'est la version Québécoise. Pas grave ça fera quand même l'affaire !
EDIT: @Shin : Oh mais j'ai aussi un lien VOSTFR en qualité Bluray ! Il y a juste à demander ! Bon ok, les sous titres sont à télécharger à part et à insérer après, mais c'est déjà pas mal !