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| Dernier film vu et plus si affinités | |
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Auteur | Message |
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zinsky Pâtissière en chef
Age : 50 Nesquik : 107 Nombre de messages : 5738 Date d'inscription : 13/01/2011
| Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 12.08.14 15:58 | |
| C'est pas tant qu'il soit mort qui me choc, on y passe tous un jour mais le suicide, merde! |
| | | BM Membre du groupe
Age : 27 Nesquik : 77 Nombre de messages : 6001 Date d'inscription : 04/01/2012
| Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 12.08.14 21:33 | |
| Moi aussi ça me rend toute triste... Cet homme a bercé mon enfance !
On sait jamais trop ce qui se passe dans la tête des gens... |
| | | RMi Membre du groupe
Age : 27 Nesquik : 69 Nombre de messages : 5187 Date d'inscription : 15/12/2011
| Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 12.08.14 21:48 | |
| Jumanji ! Je vais plus regarder ses films de la même manière maintenant |
| | | ChocoPillow Membre du groupe
Age : 33 Nesquik : 152 Nombre de messages : 4468 Date d'inscription : 17/10/2011
| Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 12.08.14 22:01 | |
| J'ai voulu revoir le film "Jack" il y a une semaine car je l'adorais étant gamin, et bim voilà que maintenant il est mort. C'est ma faute ? |
| | | BM Membre du groupe
Age : 27 Nesquik : 77 Nombre de messages : 6001 Date d'inscription : 04/01/2012
| Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 12.08.14 22:15 | |
| Ce film est, du moins dans mes souvenirs, un film époustouflant et magnifique et tout ce qui va avec ! |
| | | SuperAlexKidd VIP
Age : 43 Nesquik : 32 Nombre de messages : 1334 Date d'inscription : 24/06/2012
| Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 13.08.14 0:56 | |
| Bon bon bon, je reviens du ciné, j'ai été voir Les Gardiens de la Galaxie ! Quel film, bien au delà des mes espérances. C'est bourré d'humour, réalisé d'une main de maître (je vais m'intéresser aux autres films de James Gunn du coup), rempli de références aux années 80 et la pop culture. Je n'avais pas pris un tel pied comme ça depuis longtemps au ciné L'acteur qui joue Peter Quill alias Star Lord est vraiment au top, et les 4 autres n'ont rien à lui envier. Chaque perso est bien mis en avant, l'histoire est captivante, les décors rappellent certains films références ou jeux vidéo je trouve, et je me suis tapé des barres tout le long... Pour ma part le meilleur film de la galaxie Marvel. Et n'oubliez pas de rester pour la scène post-générique (référence à un vieux film des années 80, dont j'ai appris qu'il été tiré un comics Marvel à la base). Vivement le 2 PUTAIN [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] |
| | | CyberInflames Cybercritique
Age : 33 Nesquik : 122 Nombre de messages : 5104 Date d'inscription : 09/05/2011
| Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 13.08.14 7:22 | |
| Ce soir pour moi, j'avais pas envie de supporter la 3D de l'avant-première. J'en attends pas mal, par rapport aux précédentes déceptions de Marvel. |
| | | Alex Le petit marseillais
Age : 30 Nesquik : 112 Nombre de messages : 3572 Date d'inscription : 05/11/2010
| Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 13.08.14 18:32 | |
| J'apporte mon hommage à Robbin Williams , on sait tous combien il est difficile d'être apprécié majoritairement dans le monde du cinéma , mais il a fait ses preuves , de par ses films et son talent inné à faire rire les gens de bon coeur. RIP |
| | | CyberInflames Cybercritique
Age : 33 Nesquik : 122 Nombre de messages : 5104 Date d'inscription : 09/05/2011
| Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 14.08.14 11:50 | |
| Vu hier soir, Les Gardiens De La Galaxie : Depuis Avengers, Marvel a la main mise sur le blockbuster super-héroïque, peu importe sa qualité. Chacune des trois étapes de la phase 2 que furent Iron Man 3, Thor 2, et Captain America 2 ont été de belles déceptions, pour ma part, et le signe d'une grosse machinerie comptant bien capitaliser sur sa recette surprise. Heureusement, Les Gardiens De La Galaxie était l'annonce d'un peu de fraîcheur dans un marasme constant aux connexions hasardeuses. Le film ne recèle pourtant pas de grosses surprises et suit les codes habituels de Marvel, notamment au niveau de l'humour omniprésent, rarement spontané et très fortement appuyé. Fonctionnel au premier visionnage, il sera certainement moins efficace par la suite. Pareillement, le mélodrama est globalement raté et plombe un long-métrage qui ne jure que par les one-liners. Et, comme à l'accoutumée, l'antagoniste (Ronan) est trop succinctement exploité, en dépit d'un Lee Pace franchement génial. Instaurant toute une galerie de personnages hauts en couleur (sens propre et figuré), James Gunn peut compter sur un casting impeccable qui suffit à les rendre attachants et crédibles. On peut citer Chris Pratt en déconneur de première, Rooker en mercenaire tenace, Karen Gillan (Nebula), Del Toro ou encore Hounsou, tous géniaux. Et, bien évidemment, le raton-laveur Rocket et l'arbre Groot qui s'insèrent parfaitement dans cet ensemble déjanté. Sans manquer de charme, Saldana et Bautista se révèlent assez secondaires. Le fait de se détacher complètement de ce qui a été fait auparavant, en créant tout un nouvel univers, permet à James Gunn d'adopter ce ton décalé extrêmement appréciable. Même s'il voit son excentricité bridée par la politique familiale du studio, son ambiance déjantée, ses décors de SF eighties, et le choix de morceaux Pop rétro, sont absolument merveilleux et offrent une identité immédiate au film. Les Gardiens De La Galaxie se pose donc en space opera richement appuyé par les effets spéciaux. Du ton enjoué du film est retranscrit un environnement galactique fourmillant de couleurs, d'imagination, dans une mise en scène résolument oldschool et au kitsch assumé. Gunn nous offre ainsi de très beaux plans, jusque dans le climax, même si beaucoup sont à destination de l'exploitation 3D. On peut tout de même reprocher un enchaînement trop rapide des évènements, au démarrage, ainsi qu'un montage vraiment très brouillon lors de l'action, et les compositions de Tyler Bates d'une pauvreté et banalité navrantes. Hormis cela, l’œuvre de James Gunn est excellemment rythmée, parsemée de références, et jamais on ne désespère de pouvoir voir la scène post-crédit - pur fan service pour les connaisseurs. Si Les Gardiens De La Galaxie s'impose comme un des meilleurs Marvel, de son ambiance unique, il rappelle aussi que c'est dans les formules inattendues (Iron Man, Avengers) que le studio excelle, avant de les saccager au profit de sa machinerie. Note à part: Par contre, j'ai l'impression que les distributeurs n'avaient aucune confiance dans le projet parce que d'habitude les Marvel bénéficie de la plus grande salle du ciné, et là c'était vraiment une petite. Et du public que j'avais, j'ai le sentiment que Marvel est devenue la franchise des gros beaufs qui s'esclaffent pour un rien. Et ne connaissent rien en dehors de ce MCU parce que j'ai bien ri au post-credit où aucun n'a compris le clin d'oeil (alors que c'était marqué juste après) et ils étaient tous à sortir - Spoiler:
"Daffy Duck" et "On aura Mickey et Donald dans le prochain".
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| | | Shin Ton keupin du 0ueb
Age : 35 Nesquik : 227 Nombre de messages : 11482 Date d'inscription : 18/08/2010
| Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 17.08.14 14:30 | |
| J'en reviens, excellent Marvel très fun et très frais, qui change, on va directement dans le vif du sujet et le rythme retombe jamais vraiment, les 5 persos sont TOUS cools, mention spécial à Chris Pratt et Rocket qui sont hilarants à se prendre la tête, c'est kitsh et drôle, moi je dis oui.
Thanos clax |
| | | CyberInflames Cybercritique
Age : 33 Nesquik : 122 Nombre de messages : 5104 Date d'inscription : 09/05/2011
| Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 18.08.14 11:08 | |
| Je suis un peu réservé par rapport à Thanos par contre. J'aurais voulu plus de Ronan !
Sinon, à part les Gardiens, la semaine passée a été assez sage, petit récapitulatif : Zero Theorem : Terry Gilliam et la science-fiction, c'est une longue histoire d'amour infaillible. Ses univers sont incroyables et son esthétique splendide. Cela est réinjecté dans ce Zero Theorem qui donne l'impression de regarder un film de SF des années 90, au monde futuriste urbain et sombre, où le modernisme n'est que fantaisie de néons multicolores et gros gadgets plastique. Ce mélange de kitsch et technologie moderne créé un futur des plus burlesques, typique du réalisateur. Il y a aussi ce ratio d'image totalement atypique qui contribue à appuyer le ton délicieusement rétro du siècle passé - et les passages en noir et blanc bien vus. On retrouve ainsi ce ton décalé dans l'histoire et les personnages, avec un Waltz excellent en génie excentrique et une intrigue nébuleuse et étrange, jusque dans ses derniers instants. Zero Theorem est original, mais l'on passe plus de temps à apprécier les décors théâtraux et éclairages fantastiques - qui débordent d'inventivité - que de donner sens à une intrigue qui perd de son charme dès qu'elle redevient sérieuse et dramatique.
Under The Skin : Rarement je n'aurai eu autant de mal à aller au bout d'un film. La quatrième tentative fut la bonne. D'une lenteur extrême, sans pour autant être contemplatif, Under The Skin est une succession de plans abstraite, où le dialogue est minimaliste. Scarlett Johansson est loin de ses productions habituelles pour un film expérimental, qui la pousse à jouer de façon inédit - placidité et absence d’émotion. Certainement pas vide de sens, le long-métrage est vide en rythme, avec un visuel parfois intéressant. Une image dépouillée, un ton morne, reflétés par le décor écossais, et quelques scènes très fortes, poisseuses et dérangeantes, qui surviennent de façon inattendue dans un film languissant, appuyées de cette bande-son Drone insidieuse dont le thème principal renforce le malaise. En connaissant le pitch, on s'ennuie. À l'inverse, c'est l'incompréhension jusqu'aux deux dernières minutes. Glazer joue l'artistique à fond, sans se soucier d'une quelconque consistance narrative, et crée d'un ensemble hypnotique, une œuvre soporifique.
The Conjuring : Pour ce genre d'histoire sur les esprits démoniaques, je pense qu'il faut un minimum de croyances personnelles pour être affecté par les situations du film. Faits réels ou non, j'accroche rarement à ces longs-métrages du paranormal remplis de références chrétiennes ; la majorité des évènements surnaturels et les démons m'apparaissent très souvent burlesques. Du coup, avec The Conjuring, James Wan reprend absolument tous les éléments des films de maison hantée/possession et en fait un gros best-of. Il rajoute même une intrigue secondaire minimaliste avec la poupée (qui aura le droit à son spin-off). Que ce soient les manifestations premières, l'esprit rationnel des nouveaux habitants, l'appel aux experts, les démons rageurs qui s'excitent vers la fin, tout y est, calibré comme à l'accoutumée. On aime bien Patrick Wilson et James Wan sait y faire côté réalisation. Il y a des plans franchement excellents, des jumpscares efficaces même si faciles avec la musique, et un style rétro qui sied au contexte. Mais pas de grande surprise, ni d'effroi.
Mall: A Day To Kill : Réalisé par Joe Hanh, de Linkin Park, dont plusieurs autres membres se sont attelés à la bande-originale, Mall: A Day To Kill est un de ces petits films qui ne paient pas de mine mais qui finissent par imposer toute une atmosphère inattendue qui rythme le long-métrage. Pour preuve, on pense beaucoup aux œuvres de James Winans, ou de Richard Kelly, l'aspect SF/fantastique relégué au profit d'une approche plus psychologique. L'acting est parfois approximatif, il y a des effets superflus, et le scénario aurait pu être davantage affiné, notamment avec ce démarrage nanardesque. Néanmoins, Hanh agence parfaitement sa mise en scène, plutôt lente, avec le superbe accompagnement musical, et quelques trouvailles visuelles. Ainsi, ce film annoncé comme un Elephant/Rampage dans un centre commercial devient un récit de destins croisés parcouru à travers les yeux d'un ado marginal très juste. Riche d'une ambiance fascinante, Mall: A Day To Kill surprend et s'avère être un premier long-métrage réussi de la part du talentueux Mister Hahn.
Mama : En mettant en scène cette présence surnaturelle et possessive, Andrés Muschietti réalise, avec Mama, un excellent travail dans la suggestion et les jeux d'ombres, avec quelques frissons à l'appui lorsqu'elle se met en colère, et des jumpscares efficaces. Le point clé de la pellicule, c'est l'approche des fillettes aimantes et aimées de cette entité. La plus petite est carrément dérangeante de par son comportement, et l'aînée assied également une prestation solide. Il n'était par contre pas très utile d'avoir des acteurs du standing de Chastain et Coster-Waldau, tant tout repose sur le jeu des jeunes filles qui influent sur l'ambiance du long-métrage. À travers une bande-son d'épouvante réussie et quelques effets de caméra originaux et immersifs, Mama fait très bien croître la tension malgré ses quelques écueils comme ce démarrage trop révélateur, des flashbacks laids et rationalisants, et un finale qui s'éternise pour faire du fantastique. L'intention est bonne, mais à mesure que la "créature" est mise en pleine lumière, l'effroi s'estompe et le film deviendrait presque gentil.
11.6 : 11.6 a effectivement été conçu sans avoir toutes les clés de l'affaire Toni Musulin. Les zones d'ombre restent ambiguës et le réalisateur ne se risque pas à interpréter. Ce qui peut frustrer, car il n'y a finalement pas grand chose de nouveau dans ce film qu'on ne peut apprendre en un tour de toile. Cependant, Philippe Godeau ne fait pas dans le drama, ni le biopic, il met simplement en scène cette affaire. C'est tellement bien monté, avec un ton sérieux constant, évitant la comédie habituelle facile, et des musiques excellemment utilisées pour appuyer le long-métrage, qu'il serait dommage de passer à côté. Et puis, François Cluzet ; la gueule, le caractère, la prestance. Difficile de juger la véracité de l'homme, mais le personnage est parfait. Sans pour autant en faire l'apologie, sa psychologie est correctement abordée, malgré un mystère persistant. Dans quelques années on aura certainement un nouveau 11.6 sous-titré "l'histoire complète" ; en attendant, Godeau réalise un Thriller brut, qui peut sembler impersonnel, mais captive de par son approche juste et soignée.
Jobs : En voulant retracer le parcours de Steve Jobs, le réalisateur effectue un travail bâclé et opportuniste. Si la société et l'homme sont étroitement liés, on a surtout l'impression de voir un historique d'Apple. Qui plus est, le film de Stern s'arrête en cours de route, à l'aube des années 2000, avant la vraie conquête d'Apple. Bien entendu, on connaît la suite de l'histoire, mais il en va de même pour ce qui est montré avant qui n'est finalement que mimétisme du personnage et mise en scène de combats de coqs. Jobs manque également d'attrait, avec un aspect téléfilm certain, et maniéré au possible entre les musiques d'époque (Dylan, Walsh), les compositions classiques (Chopin, Beethoven), et des plans introspectifs supposément artistiques mais ratés. On nous rappelle constamment l'homme visionnaire qui est prêt à tout sacrifier pour changer le monde et Ashton le joue bien, mais se piège vite dans la parodie des mimiques, plutôt que d'essayer de le comprendre. Au moins, les défauts de Jobs ne sont pas évincés ; ceux du film non plus.
Effets Secondaires : Dernier film de Soderbergh en date, Effets Secondaires s'avère être un thriller sournois, qui ne manque pas de surprendre le spectateur. Pourtant peu aguicheur d'entrée de jeu, avec cette vision artistique typique de Soderbergh : une image aux filtres bleuis, jaunis, des arrière-plans flous, et bien trop d'adoucisseur. Ce qui a pour résultat un aspect très cheap, type feuilleton télévisé, avec des décors anodins. Par ailleurs, l'omnipotent Soderbergh se coltine une histoire de médicaments fade, et des interprétations passables, dont un Tatum de figuration. Si Rooney Mara et Jude Law sont plus en avant, ils ne sont pas pour autant marquants. Néanmoins, il y a ce mystère qui survient pleinement au bout d'une heure, et nous fait voir l’intrigue du film sous un œil totalement nouveau. C'est inattendu, et bien vu de la part de Soderbergh qui prend à revers les codes du genre. Toutefois, l'intérêt arrive tardivement, et ce soubresaut est bien trop vite expédié au sein d'un film qui, jusque là, manque cruellement de rythme.
La Plage : La Plage est peut-être une mauvaise adaptation, cela n'empêche pas d'être vite happé par le style très vitaminé du Britannique. Le rêve que procurent ces îles thaïlandaises et leurs paysages magnifiques, il le capte avec brio. Et, comme le veut l'intrigue, derrière ce paradis sur Terre peut se cacher l'horreur. C'est ainsi que Boyle navigue facilement entre les genres, transformant cette aventure exotique en conflit sociétal, puis en cauchemar pur, tout en glissant une brève critique sur le monde. En partie drame psychologique, La Plage montrait déjà le potentiel du réalisateur à s'entourer de (jeunes) talents avec DiCaprio, Cannet, Carlyle, Swinton, Ledoyen,... Et s'il y a bien une autre chose qu'il adore, c'est la musique, dont il garnit ses œuvres d'une sélection toujours brillante - Moby, Underworld, Unkle, des choix classieux et envoûtants. En voulant détourner le genre, La Plage souffre néanmoins d'un cheminement erratique (comme le jeu de DiCaprio), et une résolution trop précipitée. Des écueils qui restent mineurs face à cette aventure idyllique.
Sinister : Sinister avait tout du film d'horreur banal sur-promu : une famille qui emménage dans une demeure qui fut le théâtre de meurtres sordides, des gamins rebelles, et un expert qui veut rationnaliser. C'était sans compter l'ambiance phénoménale que Scott Derrickson parvient à mettre en place, notamment à travers ces bobines en Super 8, lugubres à souhait. Le design sonore y est pour beaucoup, très malsain et parsemé de bruitages pas tranquilles, avec des bouts de morceaux d'Ulver, de Sunn O))) et d'Andréa "Aghast" Nebel qui sont vraiment flippants. Rarement une œuvre du genre n'aura eu une atmosphère sinistre aussi réussie, ne se basant pas uniquement sur les éternelles notes grinçantes et désaccordées. D'une première partie excellente, Sinister créé, à la façon de The Ring, l'horreur par l'image. La seconde moitié perd quelque peu en intensité plus le réalisateur en dévoile et retombe dans les clichés du genre. Néanmoins, malgré la prévisibilité, il offre encore de bons moments de frousse jusqu'à un finale aussi surprenant que dérangeant. |
| | | ChocoPillow Membre du groupe
Age : 33 Nesquik : 152 Nombre de messages : 4468 Date d'inscription : 17/10/2011
| Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 18.08.14 12:21 | |
| Vu les Affranchis ! LE film de gangsters de Scorsese. A voir ! |
| | | Striker Addict
Age : 29 Nesquik : 7 Nombre de messages : 904 Date d'inscription : 02/08/2011
| Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 18.08.14 12:41 | |
| Même avis que toi sur The Conjuring et Mama Cyber et tu m'as donné envie de voir The Sinister ! |
| | | CyberInflames Cybercritique
Age : 33 Nesquik : 122 Nombre de messages : 5104 Date d'inscription : 09/05/2011
| Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 18.08.14 13:17 | |
| Donc il y a des chances que tu y trouves ton compte aussi. Ce genre de film se ramasse souvent à la fin ; faut bien faire avancer/conclure l'histoire tu me diras. Sinister arrive plutôt bien à contrebalancer |
| | | zinsky Pâtissière en chef
Age : 50 Nesquik : 107 Nombre de messages : 5738 Date d'inscription : 13/01/2011
| Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 18.08.14 22:58 | |
| Les gardiens de la galaxie : je ne regrette pas mes tunes , pour un marvel ça fait plaisir. Jamais etais dans ce trip du coup bonne surprise. Meme avis que shin.
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| | | RMi Membre du groupe
Age : 27 Nesquik : 69 Nombre de messages : 5187 Date d'inscription : 15/12/2011
| Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 19.08.14 20:08 | |
| - zinsky a écrit:
- Les gardiens de la galaxie : je ne regrette pas mes tunes , pour un marvel ça fait plaisir. Jamais etais dans ce trip du coup bonne surprise. Meme avis que shin.
Je confirme, j'avais des craintes mais le film est sympa et cohérent avec l'univers Marvel. |
| | | Blackout Blood in your eye
Age : 32 Nesquik : 39 Nombre de messages : 2940 Date d'inscription : 05/02/2011
| Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 19.08.14 20:09 | |
| Je suis le seul à avoir trouver la fin vraiment pas terrible et facile ? |
| | | CyberInflames Cybercritique
Age : 33 Nesquik : 122 Nombre de messages : 5104 Date d'inscription : 09/05/2011
| Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 19.08.14 21:14 | |
| @RMi : y a pas tant de connexions que ça aux autres films du MCU, donc c'est pas trop dur je pense.
@Blackout : tu parles de quel fin ? Le combat contre Ronan, ou après ? |
| | | Striker Addict
Age : 29 Nesquik : 7 Nombre de messages : 904 Date d'inscription : 02/08/2011
| Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 19.08.14 21:16 | |
| Vu Sinister hier, mis à part quelques moments de flottement un peu avant le dénouement, l'idée est vraiment convaincante et la conclusion plutôt très bien vue. C'est vrai qu'il y a un travail notable sur l'ambiance pesante implantée d'une façon peu convenue avec une utilisation très limitée de subterfuges grotesques (jumpscare...). Ça m'a fait penser à du bon Stephen King (surtout au niveau de la trame scénaristique - un auteur d'épouvante, un poil névrosé, qui cherche l'inspiration...) et ça c'est vraiment une bonne chose ! |
| | | CyberInflames Cybercritique
Age : 33 Nesquik : 122 Nombre de messages : 5104 Date d'inscription : 09/05/2011
| Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités 19.08.14 21:43 | |
| Content qu'il t'aie plu ! C'est vrai qu'il y a du développement un peu moyen par moment. |
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| Sujet: Re: Dernier film vu et plus si affinités | |
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